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Rumbo en America latina

10 novembre 2011

Quelques jours plus tard...

Je perds le sens du temps. N'oublions pas que je suis avant tout en vacances, alors vous me pardonnerez je l'espère.

Si je ne me trompe pas, cinq jours ce sont passés depuis le dernier article. J'ai flaner dans les rues de Mendoza, la place independencia et les appartements d'amies et autres rencontres. J'ai était aussi à la fameuse fête à Tupungato. Un endroit magnifique! Au pied de la cordillère, au millieu du désert de Mendoza et des cactus de la pampa. On est arrivés avec mes amis à environ deux heures du matin. L'ambience était géniale, groupes de reggae sur une scène naturelle improvisée, dans un autre coin les tentes et un autre un feu ou des guitares et des tambours raisonnaient. Tout celà ajouter au décor fabuleux du désert sous une lune quasiment pleine et des milliers d'étoiles qui donnait un coté mystique à la fête.

Après le levé du soleil nous sommes reparties en direction de Mendoza, environ vers 11h. N'ayant finallement pas dormie, je profite de la fameuse sieste Mendocine pour me reposer un peu. Pour pouvoir mieux retournée avec des amis à profiter des belles températures qu'offre la nuit ici. Le matin suivant, je suis parti a "Cacheuta". Petit village à une heure de route de Mendoza, aux sources thermales avec une vue imprenable sur les montagnes et la vallée avec une rivière magnifique. Un vent incroyable soufflé là-bas. J'appris que c'était le fameux "Viento Zonta". Un vent froid venant du Chili, qui traverse la cordillère et se réchauffe et souffle avec une force incroyable en Argentine. Au coeur des montagnes je n'aurai pas imaginé que ce vent faisait autant de dégâts. En rentrant on a vue des arbres énormes couchés, des branches coupées et plein de choses qui volaient de Ça et là.

Nous passions dans une villes qui paraissait renaitre après une guerre! Et Mendoza n'avait pas était épargné: des arbres arrachés, des câbles électriques rompues, des voitures amochés... Et malheureusement plusieurs morts dans la provinces dont deux dans Mendoza. Tout et fermé dans ses cas là, les routes, les écoles, les entreprises,... Et croyait moi, ce nést pas un cour en d'air à prendre à la légère. 013

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4 novembre 2011

Jour 8 et 9

Voilà deux jours que je me balade dans la magnifique ville de Mendoza. J'ai retrouvé mes amis artisans de la "Plaza Independencia". Dont un que j'apprécie particulièrement qui répond au nom de Tati. Un artisans d'une incroyable gentillesse et d'une grande culture. J'ai passé de bons moments de la journée à discuter avec lui, boire des bières et gouter quelques produits locaux, non-autorisés en France. Le soir nous allons ensembles dans des bars ou des groupes de rock pour la plusparts, jouent toute la soirée. Des endroits que seuls les gens du coins connaissent, ce qui explique pourquoi les gens vous dévisagent en voyant entré un gringo. Mais cela ne dure pas et la fête reprend de plus belles, et des gens viennes et s'installent avec nous.

Nous parlons de musique, de culture, d'indigènes mis en marge de la société et autres causes politiques. Les Argentins sont proches de leurs racines. Malgré que ce pays ressemble beaucoup à l'erurope pour beaucoups de choses, les gens ne perdent pas de vues qu'ils décendent d'une famille de Quechua, Comanche ou Mapuche. Ils aiment parler de leurs racines et des problêmes que ces gens rencontrent aujourd'hui pour garder leurs terres.

Plus tard, nous allons sur "Alameda" une avenue ou il y a beaucoup de bars et de discothèques. C'est là dans certains bars où se retrouvent la bohême de Mendoza. On s'installe avec des amis de Tati qui sont poête, peintre, musiciens, chanteur et autres tziganes. Quelle expérience formidable! Ils chantent, jouent de la musique et danse en plein millieu de la rue ou des passant viennent applaudir. On m'explique que à leur manières, que la rue doit être comme Ça. Un endroit ou tout le monde se retrouve et partage. Sans même savoir qui j'était, qu'est-ce que je faisait ni dóu même je vennais, ils m'ont invités à me joindre à eux et partager les bières et autres choses qu'ils avaient.

Je ne vois pas le temps passé, il est 5 du matin et mes yeux se ferment tout seuls. Je leurs dit que je rentre. Nous nous serrons dans les bras comme ils le font ici, "l'abrazo". Un fort symbole cet abrazo. Qui signifie que chacun et enchanté de connaitre l'autre et qu'il veut le revoir. Avant de m'en aller, Tati m'invite à une fête qu'il organise à "Tupungato", à une heure d'ici dans les premières montagnes andines. Sans même réflaichir, je lui répond que je viendrais avec un grand plaisir. Une tente, quelques bières et de l'amitié me dit-il, sont les seules choses à emportées.

1 novembre 2011

Jour 6 et 7

Après 18h de voyage en bus, me voici enfin à Mendoza. Cette ville que j'avais connue longuement avec ma soeur lors de mon premier voyage en Argentine, m'accueille de nouveau. Quel plaisir d'être à nouveau ici! Revoir les amis et ma casi-famille d'adoption ici. Je séjourne chez une femme du nom de Lilian originaire d'Uruguay. Elle vit dans cette maison avec son fils Nicolas et parfois des étudiants qu'elle accueuille pendant leur études. Vous n'imaginez pas las sympathie de cette famille! Le coeur sur la main, toujours prêts à vous aidez, vous conseillez et à accueillirde la meilleure faÇon que ce soit. C'est une nouvelle fois qu'il m'accueille, et c'est pour moi une retrouvaille pleine d'émotions.

À peine arriver Lilian me dit de faire comme chez moi et me raconte les choses qui se sont passé depuis que lón ne s'était pas vues. Et comme une véritable maman poule me couvre d'attentions. Me prépare un bon "Mate" et un bon repas. Maintenant je vais profiter d'une belle tradition mendocine qu'est là sieste. Après je vais profiter du beau temps pour aller dans un endroit que j'apprécie particulièrement: "La Plaza Indepedencia". C'est là ou tous les artisans et hippies se rejoignent.

31 octobre 2011

Cinquième jour

Après m'être couché très tard la veille, ou très tôt, je me suis réveiller sur les coups de 15h. Je n'avais rien de vraiment prévue pour la journée. Je croise quelques personnes de l'auberge avec qui je me suis lié d'amitiée. Deus Marocaines du nom de Houda et Rita, un New-Yorkais, Freddy et un Egyptiens, Seif. Tous allaient au match de foot à la Boca, voir les Bocas Juniors,  l´équipe la plus connue d'Argentine car elle à notament fais connaître Maradona. Je décide donc de les suivres, et d'aller voir un match de foot qui est plus implanté qu'une religion en Argentine.

Arrivée au stade: une cohue innimaginable reigne dans tout le quartier. Ils s'agissait du match entre La Boca Juniors et Les San Rafaela les deux première équipes du classement. Autant dire que l'atmosphère était assé chaude. LE stade se remplissait peu à peu, mais l'ambiance était déjà assé impressionante. De tout les côtés des chansons, de la musique et des cries raisonnés. Mais tout cela dans une bonne ambiance.

Juste un peu avant le match, des supporters de Boca juniors sont arrivés en criant partout de nous écartés et de faire une place au millieu. Tout le monde s'est écarté, et arrive dans les gradin une fantastique fanfare, accompagné de dizaines de drapeaux, de banderolles et de parapluie au couleur Bleu et Or de la Boca. Autant dire que l'ambiance était extraordinaire avec les chants qui reparté de plus belles accompagnés de la fanfare. Une ambiance que je n'oublierai jamais. À aucun moment les supporters n'ont arrêter de chantés.DSCN17973 à 1 pour Boca juniors!

Plus tard dans la soirée, Fer the best, le réceptionniste de l'hotsel, d'une gentillesse à toutes épreuves, nous à invitées dans une "Milonga". Une sorte de bar avec des orchestres jouant du tango, devant une large piste de dance en bois ou des dizaines de couples dances avec une incroyable sensualitée. Cette dance à vraiment quelque choses de magique. D'une beautée, d'une déclicatesse et d'une classe incroyable, je regardé ce spectacle magnifique tel un enfant. Époustouflé par la justesse et la minutie des pas que je n'ai pas arrêter de fixé toute la soirée.

Maintenant il est tant de rentrée car demain je prend la route pour Mendoza en bus, ou environ 18h de tragé m'attende.



29 octobre 2011

Quatrième jour

003Aujourd'hui la journée n'est pas franchement productive. Hier soir un franÇais arriver à l'auberge, Adrien, m'a invité à une soiré chez des amis à lui à quelque cuadras de l'auberge. Nous sommes arrivé devant la maison en question, et un ami d'Adrien nous à ouvert, Clément, un franÇais qui voyage depuis la colombie et à fait le tour de l'amérique latine. Il vit dans cette maison avec une bonne vingtaine personnes de toutes les nationnalitées. C'est en fait une maison avec plusieurs appartements, mais les portes sont toujours ouvertes, et les gens vont et viennent à leur guises d'un appartement à un autre.

De fil en aiguille, autour de quelques bières et un bon "Fernet con coca", la petite soirée vire vers une bonne fête cosmopolite. Chacun à son tour met une musique de son pays. Nous parlons politique, voyages et bien d'autres choses qui fais régner une atmosphère chaleureuse que seul un melting-pot peut offrir. Nous chantons, dansons et trinquons jusqu'au petit matin. À 7h du matin nous rentrons donc avec Adrien à l'auberge.

Devant celle-ci, nous croisons quelques jeunes, au moin autant émécher que nous le sommes. Ce sont un Irlandais, un Égyptiens, une Américaine, un Colombien, une Marocaine et une FranÇaise qui sont à l'auberge. Nous refaisons le monde un petit moment et décidames de prendre un ultime verre dans un bar. Nous partons donc chercher le premier bar venue pour jetter notre dévolu sur l'ultime verre. Finallement nous sommes rentré à neuf heures du matin pour essayer de récupérer de cette fantastique soirée, Vous aurez bien compris pourquoi aujourd'hui je n'avais pas franchement envie de courir partout.

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28 octobre 2011

Troisième journée

Ce matin au levé, je me suis lancé un défi: Partir sans vraiment savoir ou aller, seulement partir en direction du "Bario Chino", traduisez Quartier Chinois, et tout Ça à pieds. Facile direz-vous? Et bien pas vraiment. La ville s'étendant sur plusieurs kilomètres et le quartier chinois étant celui le plus à l'opposé, ce n´était pas franchement de tout repos. Mais quelle expérience formidable ce fût! Un sentiment de libertée m'envahissé, n'étant pourtant pas enfermé. Mais la libertée d'aller ou bon me samblais, faire ce que je désiré quand je le souhaitais.

Pendant plus de cinq heures, j'ai airré Ça et là aux grès de mes envies pour enfin arriver à ce fameux quartier chinois. Une énorme porte comme l'on voit à l'entrée d'un temple asiatique marque l'entrée du quartier. J'ouvre mon sac pour prendre mon appareil photo, et la je m'apperÇois qu'en bon tête en l'air que je suis j'ai oublié de recharger les batteries. Du coup je continue mon chemin sans pouvoir prendre de photos hélas de cette petite ville asiatique en plein centre de la capitale Argentine, une sorte de Chinatown. Je ne pût m'empécher de penser à mon premier voyage, le Vietnam.

Après une bonne balade d'une heure dans ce jolie petit quartier, je décide de rentré. Je prend donc cette fois-ci la solution la plus simple, et non pas la plus courte, et je suis "La Avenida Libertador", la plus importante de la ville, du moin sur le plan que j'ai! 2 fois 6 voies ce qui est assé impressionant à voir pour la première fois. Après environ une bonne heure de marche supplémentaire, je márrêtte dans un petit resto sur le bord de la route ou je mange un autre plat très répendue en Argentine "La milanesa de Pollo". En gros une escalope de poulet panée au soja. Pas cher et assé bon, accompagné d'une bonne Quilmes, bière nationale Argentine, je n'ai plus le courage pour rentré a pieds, et prend donc un taxi pour rentré à l'Auberge. Je pense bien dormir cette nuit...

28 octobre 2011

Second jour à Buenos Airess

    Je me suis lever tôt (si si Ça arrive!) pour aller visiter le quartier le plus connue de Buenos Aires: "La Boca". Magnifique quartier qui reflète l'image que nous nous faisons de l'Argentine. Maisons multicolore en bois, danseurs et danseuses de tango, musique Argentine qui rythme la vie dans ce petit quartier devenue ultra-touristique, on le reconnais énormément aux prix qui sont exorbitants.

L'ambiance est bonne enfant, de Ça et là la musique vous accompagne dans le fameux "Caminito" ou vendeurs de toutes sortes de souvenirs bien touristiques vous abordes en essayant de vous vendre du soit-disant fabrication artisanale. On peux traverser de toutes parts des "Paesos" qui vont d'une rue à une autre, ou boutiques touristiques s'entassent. Certaines sont très belles et ont un charme qui rappelle les rues entrellacées de l'envoutante Valparaiso au Chili. Cependant on n'oublie à aucuns moments que nous sommes dans un lieu très touristique grâce à la présence de dixaines de policiers et gendarmes, car le "Caminito" et en fait au centre d'un énorme quartier réputé dangereux.

Une fois la visite terminée, j'ai pris un taxi pour me rendre au "Jardin Zoologico" situé à quelques kilomètres de lá. Le chauffeur de taxi que j'ai pris, d'une incroyable gentillesse, se nommé Javier. Il m'a expliqué que dans la zone où se trouvait le Zoo il y avait d'autre choses à visitées aussi belles que peu chère. Il m'a longuement parler de Buenos Aires, des choses à voir, à faire où à refaire. Des quartiers où les touristes ne vont pas car ce n'est pas sur "leur guide". Choses que je suis friant de découvrir pour me mélanger à la populations et profiter des mêmes choses en payant souvent moins de la moitiée du prix touristique.

Après deux bonnes heures passées à visiter le zoo, à mon gout plus que médiocre, j'ai suivie les conseils de Javier et me suis dirigé vers le "Jardin Japones". Un petit havre de paix en plein millieu du brouhaha infernal de la ville et de ces immences immeubles. L'entré était de 8 pesos, autant dire un prix dérisoire, pour découvrir un fantastique jardin japonnais au petits étangs, plantes exotiques, et serénitée plus que déroutantes au millieu de cette mégalopole Argentine.

Après une longue bouffée de calme, je me suis rendue en plein coeur du quartier "El Once", ou il y a plus de magasins que d'habitants. On peu tout trouvé à des prix défiant toutes concurences. J'en ai donc profité pour acheter un portable d'occasion avec une carte sim pour pouvoir joindre mes contacts argentins, ainsi que les taxis et autres auberges de jeunesses. Après cette belle balade, je vais donc aller manger un bon "assado" ou autres morceaux de viandes qui sont pour de bon, leurs spécialitées.  Buen provecho!012

26 octobre 2011

Premier jour à Buenos Aires, Argentine


Toca la guitara en buenos airesArrivé sur le sol Argentin que je foule pour la seconde fois, à 8h heure locale.Cette fois-ci je suis arrivé à Buenos Aires, et non pas Mendoza comme lors de mon premier voyage. L'aéroport est plongé dans une cohue matinale qui me réveille et qui peint sur mon visage un sourire pour avoir retrouver cette langue qui semble chantante à l'oreille.
L'aéroport est à une trentaine de kilomètre du centre de Buenos Aires, donc ne connaissant pas la ville je ne me risque pas le premier jour à foncer tête baissée dans l'aventure, et je prend donc un taxi qui va me coûter la modique somme de 160$ (Pesos Argentinos), soit l'équivalent d'environ 34€.
Je prend la direction avec Silvio, un conducteur de taxi qui me rappelle à quel point les Argentins sont pour la plus-part accueuillants, du quartier qui se nomme San Telmo ou j'avais réservé auparavant une chambre dans un Hostel magnifique dans une vielle bâtisse typique de Buenos Aires, retappé et redécoré par de jeunes artistes en tout genres: peintres, photographes, taggers,...

 

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